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falling yet another night (ft. selver bébé chat)

Sven H. Borsheim
Sven H. Borsheim
plaisir sucré, nuit étoilée
(╯ಠ_ಠ)╯︵ ┳━┳
♔ Date d'arrivée : 03/09/2019
♔ Messages : 3215
♔ Couronnes norvégiennes : 104517
♔ Crédits : peachesnsprite ; vocivus
♔ Âge : 24 ans
♔ Statut civil : en couple (et divorcé, quelle aventure)
♔ Études ou métier : étudiant en mathématiques (doctorat) et employé à temps partiel au Videospillparadis
♔ Pourquoi la Norvège ? : j'ai saisi l'occasion d'avoir une seconde chance après avoir fui ma famille
♔ Animaux adoptés : bali & salem les petits chats, ponpon la lapine
♔ Autres comptes : sól
♔ Votre espace :

falling yet another night (ft. selver bébé chat) Fl3t

-- Et j’ai des centaines de flèches dans le coeur,
et j’ai des millions d’envies de te plaire. --


falling yet another night (ft. selver bébé chat) Hhvs


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12.01.20 19:20
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falling yet another night ;
ft. Selver bébé chat

— Les yeux rivés sur l’écran de mon téléphone, je regarde le dernier message que je lui ai envoyé sans vraiment le voir. Il s’est passé des mois, et je n’ai jamais répondu aux siens quand je suis parti. Je soupire un peu, on ne peut pas dire que je ne m’attendais pas à ce qu’elle me retrouve, ou que je ne l’espérais pas, mais j’aurais aimé la voir en tête à tête avant d’avoir à subir ses envies de théâtre devant toute la ville. Mais je l’ai mérité, ça je ne peux pas lui retirer.
Le rendez-vous a été lancé comme une bouteille à la mer, pas de la meilleure des façons, pas de la manière la plus polie ou attrayante non plus. J’aurais aimé avoir un endroit à moi où l’emmener, mais je me vois mal me disputer avec elle dans ma chambre à la résidence ; alors mon choix s’est porté sur la rive gauche. C’est un endroit paisible, et moins fréquenté que le reste de Fredelig, alors après le fiasco du bal de fin d’année organisé par la ville et la soirée de Paco au Blood Night, c’était bien ce dont j’avais besoin. Peut-être qu’elle aussi. Mais je ne doute pas que vu les émotions qui avaient l’air de se bousculer dans ses yeux à la soirée, ces retrouvailles ne seront peut-être pas aussi calmes que ce que j’espère. Même si j’aimerais juste la prendre dans mes bras et lui dire que je suis désolé, je me doute que ça ne suffira pas cette fois.
Un coup d’œil à ma voiture garée non loin d’ici, je frissonne en sentant la nuit tomber tout doucement et refroidir l’air autour de moi. Je ne sais pas trop depuis combien de temps j’attends, je n’ai pas fait attention à l’heure, mais j’imagine que si elle a décidé de venir alors elle ne va pas tarder. Il y a une vague d’inquiétude qui me tord le ventre, comme si quelque part, j’avais peur qu’elle ne s'en donne même pas la peine – et je ne lui en voudrais même pas. Ce serait probablement la pire situation possible, et alors je devrais lui refaire face en public sans pouvoir exprimer quoi que ce soit de vrai et on s’enfoncerait dans une terrible spirale de non-dits et de choses en suspens. Ce n’est pas dans mes habitudes de prendre les choses en main ou d’agir courageusement, mais c’est le moins que je puisse faire pour elle. Alors, assis au pied des marches qui mènent tout en haut de la montagne où beaucoup viennent observer les aurores boréales, je tripote nerveusement mes doigts en priant pour qu’elle m’accorde ce temps là malgré l’appréhension qui me dévore.

(c) SIAL ; icon pando



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13.01.20 1:16
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falling yet another night
selver h. borsheim & @sven h. borsheim

« No distance of place or lapse of time can lessen the friendship of those who are thoroughly persuaded of each other's worth.  »

SMS:
17:45
Ses talons aiguilles claquent péniblement sur l'herbe et les roches, et quelques grimaces légères viennent tirailler ses traits légers. Elle prend tout son temps, pour balayer doucement de ses yeux le lieu, et admirer sa beauté nocturne. Elle prend même le temps de sortir son téléphone pour prendre quelques photos du beau paysage qui s'offre à ses prunelles ébahies. C'est pas le genre de lieux où elle a l'habitude de mettre ses pieds, habituellement. À Oslo, ses soirées se résumaient à se perdre dans le néon et les buildings délabrés de la ville. Dans les skateparks avec un goulot à la bouche, ou les brasseries les plus paumées. Sa vie a toujours été très particulièrement animée, là-bas où elle a fraîchement laissé tous ses souvenirs. Ici, à Fredelig, elle a l'impression que tout est moins vivant. Plus simple, plus convivial aussi. Peut-être un peu terne. Pas forcément l'endroit idéal où elle aimerait finir le restant de ses jours. Selver, c'est les ruelles fêtardes de Los Angeles qu'elle aimerait longer plus tard jusqu'à pas d'heure. Une ville vaste, vive de reconnaissance et d'aventures. Mais ici, elle a l'impression de mettre une pause dans sa vie, et de relâcher toute la pression. Ici, elle prend une grosse bouffée d'air fraîche. Elle s'y plait plutôt bien pour le moment, bien que ça ne durerait probablement pas sur le long terme. Elle s'avance, les pas lents, le regard las. Et elle le voit plus loin, le frangin. Rien qu'en s'attardant sur ses traits, elle comprend que son esprit n'est pas paisible du tout, et qu'il appréhende ces vraies retrouvailles depuis la soirée du bal. Elle expire, pose brusquement ses mains sur ses épaules. « Salut, sale enfoiré qui est pas foutu de prendre des nouvelles de sa sœur depuis des mois. Je suis en retard ? » Avec l'esquisse d'un sourire aux allures malicieusement anodines sur les lèvres, elle s'affale à ses côtés, et reporte aussitôt ses genoux à sa poitrine, l'esprit rêveur. « T'aurais pu m'inviter... Je ne sais pas moi, à un restaurant ? Ou même un fast-food, j'sais pas. T'es toujours aussi crevard ? » Elle roule doucement des yeux. Les mots légers, avec une insouciance presque déconcertante entre les syllabes. Si son frère ne la connaissait pas assez, il tomberait sans doute dans le panneau, parce que ce qu'elle est en train de faire là, ce n'est rien que le commencement.
(c) DΛNDELION
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Sven H. Borsheim
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13.01.20 18:00
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falling yet another night ;
ft. Selver bébé chat

— C’est facile de savoir qu’elle arrive, j’ai l’habitude de l’entendre avant de la voir. Je ne relève pas tout de suite la tête pour m’en rendre compte, mais je sens un sourire résigné commencer à flotter sur mes lèvres quand le bruit de ses talons conte le sol résonne à mes oreilles. Malgré la nervosité qui me ronge de l’intérieur, je suis quand même heureux qu’elle ait décidé de venir – et ce, même sans écouter ma recommandation. Pur esprit de contradiction ou provocation gratuite, je ne saurais pas dire, mais ce qui est sûr, c’est que maintenant je sais que tout n’est pas perdu entre elle et moi.
Évidemment, elle ne mâche pas ses mots quand elle approche et pose ses mains sur mes épaules. Les yeux doucement posés sur elle, je prends le temps de la détailler avant de lui répondre. Et puis, je détourne le regard comme je sais le faire. Que dire à ça ? Que je suis désolé ? Ça ne sera jamais assez, même si c’est vrai. La tête en l’air, je fais mine de chercher quelque chose dans le ciel. La nuit tombe vite, et malgré le retard qu’elle a par rapport à l’heure que je lui ai indiquée, elle ne l’est pas vraiment pour ce que j’ai prévu. « Mh… non, pas encore. » Le ton évasif et volontairement mystérieux, j’essaye de ne pas vendre la mèche même si c’est possible qu’elle ait déjà compris pour quoi on est là.
Assise à côté de moi sur la dernière marche de l’escalier naturel qui mène tout en haut de la montagne, elle a ses jambes repliées contre elle et je dois me retenir pour ne pas passer un bras autour de ses épaules. Il ne me semble pas avoir vu grand monde passer depuis que je l’attends, j’ose espérer qu’il n’y a pas foule là-haut à cause du froid et que le peu de courageux qui s’y aventureront cette nuit seront suffisamment absorbés par le spectacle pour ne pas nous remarquer.
J’essaye tant bien que mal de voguer entre ses piques lancées l’air de rien et son ressentiment plus que visible malgré son attitude lasse, mais je sais que je ne pourrais pas échapper à sa colère éternellement. « C’est pas l’heure de manger. » Retenant une moue réprobatrice, je m’empêche d’autre commentaire – elle n’a pas vraiment besoin de ça maintenant. Les mains sur les genoux, je fais l’effort de me lever et désigne d’un vague geste du menton le chemin de randonnée. « En plus, on reste pas ici. » L’air autoritaire malgré moi, je la regarde avec toute l’attente envahissante et évidente sur le visage. Je sais, j’ai des choses à lui dire ; mais si elle a attendu des mois, elle peut attendre qu’on soit arrivés. J’ai eu tellement de temps pour réfléchir à ce que j’allais lui dire, et pourtant, rien ne me vient. Je me force à agir comme si tout allait bien, qu’il ne s’était rien passé, mais je suis bien conscient que c’est déjà ma dernière chance.

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22.01.20 19:38
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falling yet another night
selver h. borsheim & @sven h. borsheim

« No distance of place or lapse of time can lessen the friendship of those who are thoroughly persuaded of each other's worth.  »
La nuit se déverse doucement derrière l'aurore et l'horizon. Il y'a la sincérité qui plane, et la mélancolie qui va avec. Il y'a le calme ambiant qui vient réchauffer l'esprit éperdu, et ce silence révélateur où énormément de non-dit flottent tristement. La brise caresse doucement son visage et ses pensées entremêlées. Elle ne l'admettrait pas, Selver, jamais ; mais malgré la tristesse qui voile légèrement ses traits, il y'a cette nostalgie qui lui embaume son esprit. Ces souvenirs qui font apparition dans sa tête, et elle en retient son sourire. Ce manque béant, et ce bonheur refoulé de se retrouver enfin avec son frère, comme quand ils se blottissaient l'un contre l'autre en se murmurant leurs petits secrets à la tombée de la nuit. Sous les mots de malice, il y'a la peine et l'affliction. Elle se dit indépendante Selver, mais depuis que son frère est parti, elle s'est retrouvée étrangement seule et perdue. Elle avait vécu la colère de ses parents, et leur possessivité habituelle n'était devenue que plus immense encore. Elle s'était retrouvée comme emprisonnée entre leurs filets protecteurs, elle qui aimait pourtant tant se galvaniser de sa liberté. Il n'était plus là pour lui apporter le réconfort dont elle avait besoin. Il n'était plus là pour lui donner des leçons de morale, ni pour l'accompagner dans ses sorties nocturnes vers minuit et plus. Elle a vécu ça comme un abandon ; elle aurait pu essayer de passer au dessus, mais elle qui aime tant s'armer de sa fierté surdimensionnée, elle l'a tout de même mise de côté pour s'élancer à la recherche de son frère. Rien de bien compliqué, les réseaux sociaux lui ont été d'une très grande utilité. « Oui, mais moi j'ai faim. » Dans une moue légèrement boudeuse, et un haussement d'épaules vexé. Elle n'a pas faim, mais si elle peut lui tenir tête, elle ne s'en empêchera certainement pas. Selver a toujours été particulièrement chiante, têtue, et excessivement entêtée ; son frère n'a jamais échappé à la règle. « On reste pas ici ? Comment tu veux que je me déplace avec les bâtons que j'ai dans les pieds ? » Elle roule des yeux, libérant un souffle exaspéré. Aurait-elle pu l'écouter ? Oui. L'aurait-elle vraiment fait ? Jamais.

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23.01.20 3:01
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— Malgré tout ce que je m’attends à me prendre dans la figure à chaque seconde, une partie de moi ne peut empêcher un certain réconfort de naître au creux de ma poitrine. De l’avoir près de moi, de la savoir proche à nouveau. J’aurais tellement envie de la serrer dans mes bras, de lui dire qu’elle m’a manqué et que je ne la quitterai plus jamais, mais à quoi bon si je n’ai même pas l’impression d’en avoir le droit. Sa petite moue boudeuse me tire un soupir amusé, même après le scandale au bal de fin d’année, elle ne va pas me rendre la vie facile. « On mangera après. » C’est une promesse, je l’emmènerai où elle voudra, mais pour l’heure je dois d’abord faire quelque chose – et lui montrer quelque chose au passage. « J’irai pas jusqu’à dire que je te l’avais dit mais... » Il y a un rictus à peine moqueur sur le coin de mes lèvres, discrète trace d’une complicité qui semble s’être effacée. Étrange mélange entre le fait que je puisse anticiper ses réactions comme si on ne s'était jamais quittés et la distance béante qui s'est installée entre nous, j'ai des sensations inconnues dans le ventre et des pensées bousculées dans la tête. Réponse mutine à son souffle exaspéré, je souris un peu plus franchement. « Je te l’avais dit. » Je suis sincèrement désolé pour ses pieds et ses genoux, mais son entêtement et son esprit de contradiction légendaires sont une bien trop belle preuve qu’elle est bien ici avec moi pour que je me retienne de tout commentaire. « C’est pas grave, on a pas besoin d’aller jusqu’en jusqu’en haut. » Après tout, on doit juste avoir une bonne vue sur le ciel, le premier point de vue devrait suffire. Peut-être à cinq minutes de marche – ou vingt-cinq avec les chaussures de Selver. Peu importe combien de temps on met, on ne sera pas en retard. Et ce n’est pas comme si j’avais envie de la quitter tout de suite après ses mois de séparation doucement douloureuse. « Et puis, je te passerai mes chaussures à la descente. Ou je peux te porter, comme tu le sens. » Argument que j’espère imparable, est-ce qu’elle manquerait vraiment l’occasion de me voir dévaler les escaliers naturels de cette montagne en chaussettes ? Même si je ne suis pas sûr de tenir tout le trajet, l’idée de la porter sur mon dos ou mon épaule plutôt que comme une princesse est tout aussi séduisante. Comme si soudainement, j’avais de nouveau l'autorisation de la garder à mes côtés.
Et mes yeux dans les siens, nos traits similaires usés par un genre de tristesse différente, je sens une boule d’angoisse se loger difficilement en travers de ma gorge. Les mots me picotent la langue, et je brûle d’envie – de besoin – de lui parler, de lui expliquer. Mais il n’y a rien qui sort, pour changer. On a jamais vraiment eu besoin d’évoquer les choses à voix haute pour se comprendre, ça me terrifie que ça soit peut-être la première fois. Le regard lourd détourné, je guette dans le ciel quelque chose qui ne commencera pas avant quelques minutes et entrouvre légèrement les lèvres pour laisser échapper un soupir. Généralement pas le premier à engager une discussion, je sais que c’est à moi de faire les choses bien cette fois-ci. « Pourquoi t’es venue ? » La voix basse et mal assurée, je suis persuadé de déjà connaître la raison même si elle laisse mon esprit vide pour l’instant. L’air suppliant, ça me crèverait le cœur de savoir qu’elle a subi la même chose que moi et y a échappé de la même façon, mais peut-être encore plus de savoir qu’elle est venue pour moi quand je ne le mérite pas. Ou peut-être juste qu’elle va cacher la réponse derrière un sarcasme en prenant la question pour un reproche. Sûrement.

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